J’ai l’envie de nous souhaiter l’audace de vivre, à vous et à moi-même.
L’audace de croire à notre capacité de traverser gagnants toutes les épidémies du monde. Pourvu que nous tendions l’oreille à nos soifs les plus grandes…

J’en laisse les paroles à ce bijou de vœux du Nouvel an de Jacques Brel : il les formulait en 1968, déjà ! Quelle actualité leur voyez-vous ?… Un petit aperçu :

« …Je vous souhaite des rêves à n’en plus finir.
Et l’envie furieuse d’en réaliser quelques-uns.
Je vous souhaite d’aimer ce qu’il faut aimer,
et d’oublier ce qu’il faut oublier… »

→  Ce texte, oui, saura traverser les âges. Car il parle au cœur, nous parle de vivre et non plus de survivre — ce qui sera, je le crois sincèrement, caractéristique de l’année 2022, qui devrait nous arriver avec de bonnes nouvelles sur bien des plans.

Je vous propose de nous connecter avec Brel à ses paroles, et de les ressentir comme des semences que nous plantons dans notre terre intérieure …pour qu’elles aillent rejoindre les semences de milliards de gens avec qui nous appelons une Nouvelle terre de tous nos vœux.

◊  Voici ce poème en entier, logé dans notre page PERLES REÇUES.

◊  À la suite du poème, nous aurons l’occasion d’entendre Jacques Brel nous la chanter, cette audace de vivre dont il a témoigné si fort : ce sera la chanson ‘La quête‘.
…Des fois que « l’inaccessible étoile » deviendrait à portée de main pour notre Humanité, à mesure qu’elle fait des pas pour la mettre à portée de cœur…

Denis Breton