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Coronavirus : que mettons-nous dans notre trousse immunitaire ?

boussole(Voici une version révisée et augmentée de l’article, publié le 6 janvier 2021.)

 Avant de quitter la maison, c’est devenu réflexe : « Ai-je mon masque ? du gel désinfectant ? Suis-je au fait des consignes publiques ?… » Nous pensons spontanément immunité physique.

Y aurait-il une mise au point du genre, face à notre immunité d’esprit ? — s’il est vrai, comme la science l’atteste, qu’elle rejaillit sur notre immunité physique.

Je me suis provoqué à trouver quelques réponses à la question, avec quelques repères d’action. Avant de les parcourir, que diriez-vous d’écouter de l’intérieur vos propres réponses ?…

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Se faire vacciner ou pas ? Et si la réponse était en dehors de la seringue ?

bouteilles,virus,point d'interrogation

Au fil des années, on a connu une montée du débat social sur l’à-propos de se faire vacciner ou pas, ex. à la veille d’une grippe saisonnière ou d’un voyage à l’étranger. L’avènement du coronavirus a amplifié ce débat, suscitant des positions extrêmes, au point qu’un pourcentage significatif de gens hésitent aujourd’hui à se faire vacciner. Et que d’autres optent pour le vaccin, mais restent apeurés des effets négatifs qui pourraient s’ensuivre.

Se pourrait-il qu’il y ait des facteurs à considérer plus décisifs encore que le contenu de la seringue ? Que l’effet d’un vaccin soit conditionné par notre état d’esprit, et même par un certain nombre de croyances que nous entretenons par derrière ?
Je souhaite que ce qui suit vous garde le cœur plus tranquille, que vous ayez accepté le vaccin ou l’ayez refusé. Que diriez-vous d’explorer ça de plus près avec moi ?… Continuer la lecture de Se faire vacciner ou pas ? Et si la réponse était en dehors de la seringue ?

Le premier virus à éradiquer : la peur

Le croiriez-vous ? Nos réactions à une épidémie qui se rapproche — aujourd’hui celle du coronavirus — peuvent tout d’un coup nous donner une mesure de notre confiance globale en la vie.

J’ai évoqué ailleurs que ça m’est arrivé, lorsqu’on m’a annoncé qu’au test du coronavirus j’étais « négatif » : c’était donc que je l’avais attrapé. Surprise ! je suis resté paisible : « la Vie m’aime, il doit y avoir de bonnes raisons… ». Bien sûr, j’ai été heureux d’apprendre que c’était le contraire : j’étais correct.
Cet événement m’a incité à me faire une synthèse personnelle la dynamique par laquelle mes croyances forgeraient mes réactions-réflexes.

Intuition et défenses naturelles

La contagion rapide du coronavirus en a ébranlé plus d’un avec des des questions du genre « Suis-je en danger ?… des gens que j’aime sont-ils à risque ?… est-ce que ça pourrait être mon tour d’y passer ?… C’est bien humain, du moins dans nos réactions primaires.

 Vous et moi avons fait l’expérience, devant une forte peur, de « perdre nos moyens », de nous mettre « les pieds dans les plats » : nous avons du mal à rassembler nos idées, nous cessons d’entendre les intuitions qui montent, prenons des décisions erratiques…
Jusqu’à 90 % de nos maladies seraient causées par le stress — l’enfant chéri de la peur.

L’amour, son contraire, stimulerait nos défenses naturelles. Plusieurs sources au rayon spirituel proposent que l’amour aurait l’effet d’élever notre état vibratoire plus haut que celui du virus, le rendant alors inopérant. Je n’ai pas fini de fouiller ce qu’en disent nos sciences sur le sujet. La physique quantique semble avoir fait des pas dans cette direction. J’ai décidé de donner sa chance à pareille vision.

De nos croyances à nos réflexes du moment

Ce que je crois comprendre aujourd’hui, c’est qu’avec notre héritage religieux, et aussi nos autres expériences de la vie, nous développons une corbeille de croyances, qui sont nos interprétations du fonctionnement de la vie. Les adeptes d’une religion ont des croyances, les scientifiques ou les artistes aussi. Les unes sont tenaces, d’autres partent au premier vent. Celles qui s’installent ont un pouvoir créatif bien plus grand qu’on le soupçonne : « Il vous sera fait selon votre foi » affirmait Jésus.
Ces croyances finissent par devenir notre expérience, car elles ont fait nos perceptions des situations, celles-ci ont créé notre état d’esprit (pensées, sentiments, émotions), qui à leur tour deviennent nos réactions-réflexes,..

Avec tout ce temps libre que me laisse le confinement de santé, j’en dégage une question intéressante à laisser traîner dans mon imaginaire  : « Mes croyances accumulées jusqu’ici ont-elles fini de me dire la vérité sur la vie, sur la mienne ?… »

Denis Breton

L’enjeu décisif : le virus ou l’immunité ? — 2/2

>>> PREMIÈRE PARTIE DE L’ARTICLE

La première partie de cet article présentait une hypothèse en apparence étonnante : ce n’est pas le virus qui nous terrasse, mais plutôt notre propre système immunitaire défaillant.
Cette deuxième partie mène plus loin la réflexion.
Elle débouche sur une magnifique chanson de Zaz
: elle a tout un potentiel de contagion !
…pour le cœur.
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L’enjeu décisif : le virus ou l’immunité ? — 1/2

cascade courage victoireDans cette nouvelle vague de prudence face au coronavirus, notre gouvernement resserre ses attentes, et bien des gens augmentent d’inquiétude.
Se pourrait-il que nous nous privions d’une plus grande immunité, en même temps que d’un réconfort qui ne serait pas de trop, tandis que l’épidémie se prolonge ?

Et si nous élargissions un peu plus ce que nous croyons connaître de la vie ?… Une proposition mérite d’être regardée de près : déplacer notre vigilance de la peur du virus à la qualité de notre immunité intérieure. 
Déjà ça pourrait nous rassurer face à notre innocuité ou à notre avenir. Voilà un pont captivant entre science et quête de sens : « Dites à vos scientifiques d’explorer de ce côté… »
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Que faisons-nous de cette petite voix ?…

partage, terre, semenceOn nous conditionne à voir venir une nouvelle vague de coronavirus. Certains s’affolent. D’autres dénoncent une manipulation orchestrée. D’autres encore inventent des façons créatrices de se rapprocher …autrement.

Avons-nous appris quelque chose de la première vague ?…
Tant de gens ont pris la mesure de leurs liens affectifs réels : avec leurs enfants, un parent qui habite au loin, un voisin venu d’ailleurs à qui ils n’avaient jamais parlé encore…
Des gens se sont joints à une chorale, d’autres se sont offerts pour aider en centre d’accueil,  des gens ont formé des groupes sur les plateformes web…
Ils ont mesuré le prix de la vie et des liens humains à ne pas laisser s’échapper. Ils ont pressenti que l’épidémie pouvait être utilisée comme un levier de sens.

L’article s’achève sur une chanson de Jean Lapointe,
qui n’a pas fini d’être virale : Si on chantait ensemble. Continuer la lecture de Que faisons-nous de cette petite voix ?…

Renée Claude: « tu salueras le bonheur pour moi… »

Renée ClaudeRenée Claude — l’amoureuse, la sensuelle, la rayonnante Renée Claude —vient de nous quitter cesjours-ci. À 80 ans en CHSLD, traversée d’alzheimer, le coronavirus l’aurait emportée.
Et si c’était plutôt la mystérieuse mémoire d’un ailleurs qui l’avait fait partir, avec l’envie d’aller chanter le bonheur sur d’autres scènes ?…

Un bonheur dont elle nous révèle un des secrets, dans cette chanson de Stéphane Venne qu’elle a tant chantée : Tu trouveras la paix dans ton cœur. L’occasion est trop belle de vous partager cette chanson à nouveau ici !…
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Expériences de mort imminente « Pourquoi m’avez-vous ramené-e ? »

Présence lumièreLa période d’épidémie que nous traversons secoue nos croyances sur la vie, sur la fin de vie, sur la valeur d’une personne en perte d’autonomie.

« Pourquoi m’avez-vous ramené-e ? » : un médecin, le dr Zack Buch, est remué d’entendre cette question dérangeante chez les personnes qu’il a réussi à réanimer. 
Surtout, elles complètent leur question d’une petite phrase, qui le bouleverse à chaque fois : « …Je me suis sentie acceptée complètement pour la première fois de ma vie ».

Dans cette vidéo, il nous partage la soif que cette phrase a activée chez lui… Continuer la lecture de Expériences de mort imminente « Pourquoi m’avez-vous ramené-e ? »

Si l’amour est né un jour, il durera toujours

À l’occasion de la Fête des mères, aussi de l’épidémie de coronavirus.
Aux mères qui ont perdu un enfant chéri, décédé ou éloigné. Aux personnes qui souffrent d’avoir perdu un parent, sans avoir pu être à son chevet ou lui avoir parlé :

« Là où une relation s’est allumées sur une base d’amour l’un pour l’autre, un lien existe désormais : il assure que vous vous rencontrerez encore… »

Inspiré de Mike Quinsey, Golden Age of Gaia

Denis Breton

L’épidémie : se déconfiner l’esprit, déjà…

Sur quelles émotions nous laissent nos lectures, nos visionnements, nos conversations, ces temps-ci ?…
Nous sommes sur la plage à voir venir une grande vague. Certains se cramponnent aux arbres dans l’attente d’être emportés. D’autres positionnent déjà leur planche de surf, se laissent habiter du frisson qui les attend, d’être emportés vers une nouvelle terre…

Nous sommes tour à tour l’un, puis l’autre : bousculés à choisir. Nous rappeler que nous sommes les créateurs de notre expérience, c’est nous déconfiner l’esprit, déjà.

Denis Breton

Coronavirus : à l’affût des solidarités inattendues

La guerre civile au Liban (1975-’90) avait fait éclore des initiatives de solidarité imprévues, qui se sont émoussées par la suite, au point que des gens ont avoué avoir presque envie qu’elle reprenne !
Le coronavirus a quelque chose d’une guerre : il nous isole les uns des autres de bien des façons, réveille des réflexes de dévaliser les magasins avant tout le monde…
Mais ce défi inédit recèle un potentiel de solidarités créatrices, dont nous gagnerions à faire le journal après coup : pour soi,  et collectivement : c’est le meilleur de nous qui refait surface.
Oh…, excusez, c’est mon téléphone : « Comment ça va ? Avez-vous ce qu’il vous faut ?… »

Denis Breton

Le coronavirus face à la Règle d’or

Dans le film le Titanic, tandis que le bateau sombrait, je n’oublierai jamais cette scène : les musiciens sont restés sur le pont, ont continué à jouer. Sans doute pendant ce temps certains se précipitaient sur les bouées de sauvetage restantes, en bousculant tout le monde. Nos réactions au coronavirus auraient-elles quelque chose de ça ?…

C’est plus fort que moi, la Règle d’or  valorisée par nombre de courants religieux millénaires me revient en tête. Imaginons ce que ça changerait si, au lieu d’y voir une exhortation morale, on y voyait une loi de la vie, qu’on peut formuler ainsi : « Ce que je fais vivre à quelqu’un d’autre est un appel à la Vie de m’en faire vivre l’expérience pour moi…. »
Car la vie est Une : nous sommes tous interconnectés.
Le beau défi de ramener le bateau à bon port tous ensemble…

Denis Breton