Archives de catégorie : ◐ Vers votre pensée du jour

Réflexion, perspective quelquefois hors des sentiers battus
… de quoi inspirer votre propre pensée du jour.

Ma résolution du Jour de l’An: cuisiner l’instant amoureux

Qu’est-ce que je me souhaite pour cette nouvelle année?.. Humm…
Figurez-vous que c’est en coupant le pain que j’ai été inspiré: distrait un moment, je me suis coupé au doigt.

Tiens, tiens…
Et si je choisissais pour cette année de cuisiner mon attention à l’instant, attentif à être tout là dans un geste à poser, un désir qui monte, une rencontre,…
Et si, même, je m’installais par avance dans un esprit de bienveillance pour accueillir pareil instant?

Peut-être aimerez-vous amener un peu plus loin cette réflexion avec moi… Continuer la lecture de Ma résolution du Jour de l’An: cuisiner l’instant amoureux

Comment réagissez-vous aux synchronicités …et qu’en faites-vous?

J’aimerais faire écho à un message de ceux que j’aime appeler «mes amis Arcturiens». À chaque fois ils trouvent le tour de saupoudrer une cuillerée de confiance au cœur de notre quotidien, pour la consolider en nous, ou pour en élargir le sens encore. Le message d’aujourd’hui porte sur les synchronicités.

Personnellement il m’en arrive plusieurs fois par jour, et ça depuis des années: devant l’horloge de la maison ou celle de l’auto, par exemple.
Pas besoin de croire en la valeur de la numérologie. Le plus souvent je ne sais pas en décoder la signification précise, il me suffit de ressentir comme si on me disait «Fais confiance, la Vie est avec toi…»

Voici donc un extrait de ce message. Je vous propose d’en écouter la résonance en vous, tout simplement… Continuer la lecture de Comment réagissez-vous aux synchronicités …et qu’en faites-vous?

Prendre mon bain dans l’amour

Aimer est la nature même de la Vie à sa Source

Aimer est le seul regard de la Source sur moi

Aimer est mon unique nature

Aimer est mon seul outil
porte-bonheur, porte-croissance, porte-service

Aimer recommence par moi
puis se propage naturellement…

Aimer est à ouvrir chaque porte
pour moi…, et pour notre Humanité à réenchanter…

Denis Breton

Par les temps qui courent, avancer à la vitesse du cœur…

Où en suis-je avec les «Je devrais…»?  Et si je les remplaçais par un «Qu’est-ce qui me ferait me sentir bien?…» Bref, voyager à la vitesse de mon cœur.

Dans le contexte actuel où notre monde tourne comme un hamster en cage, faire le pari que notre cœur sait, que notre ressenti y mène tout droit, et avoir le courage de mettre ce ressenti en mouvement : voilà probablement un de nos plus grands rendez-vous de maintenant.
Autrement nous allons plus que jamais être girouette au vent des émotions, et celles-ci nous parlent plus facilement de nos peurs, de nos insuffisances, de nos reproches à nous-même et à d’autres.

Oui, mon ressenti de l’instant me parle de mon vrai moi, de l’audace à m’en rapprocher. Et sa vibration rejoint le monde plus vite qu’à la vitesse de la lumière …pour le faire danser un peu plus, ou pour l’apeurer davantage.

Vous aimerez sûrement parcourir le petit texte qui suit, où Nicky Hamid en décrit magnifiquement la dynamique: Shoulds (Les ‘je devrais…’). (1)

Denis Breton
____________
(1) Nicky Hamid:  Le site de l’auteur.

Pouvons-nous changer l’autre?

Plusieurs qui lisent ces lignes sont bien en chemin de quête de sens, et sont même approchés par des gens en désarroi qui ont senti leur paix intérieure.
C’est une joie alors de leur partager ce qu’on comprend mieux de la vie, ce qui alimente notre confiance …réalisant quelquefois après coup que notre enthousiasme nous a emporté, qu’on a beaucoup parlé.

Qu’en a retenu l’autre? La personne se sera-t-elle sentie libérée, aura-t-elle trouvé là une énergie pour se mettre en mouvement? Ou se sentira-t-elle plus mêlée, en reproche à elle-même de ne pas reprendre pied plus vite?…

J’ai vécu ça récemment, et deux fils conducteurs me sont apparus plus clairement pour ajuster ma façon d’accompagner quelqu’un qui souffre.

-Ce n’est pas ce que je lui aurai dit qui importe, mais ce que la personne se sera dit à elle-même dans ses propres mots, voyant un peu plus clair dans son monde émotif.

-Si j’ai à la convaincre de quelque chose, ce n’est pas de changer, mais plutôt de se rapprocher d’elle-même avec plus de tendresse. Car quelque chose en elle connaît l’être magnifique qu’elle est à sa racine. «Deviens ce que tu es» est un plus vrai message.

J’en sors avec l’envie d’écouter la personne davantage. À s’exprimer plus encore, elle arrivera à mieux s’entendre…

Denis Breton

L’état du monde nous bouscule à choisir notre plus grande vérité

Nous vivons un sacré paradoxe: il faut que la vérité se fasse sur ce qui se passe dans notre monde, pour avoir envie d’en générer un autre.
Mais c’est en mettant notre énergie à construire où regardent nos soifs, plutôt qu’à dénoncer où regardent nos peurs, que nous allons y arriver. C’est en apprenant une plus grande vérité: celle que nous avons tout ce qu’il nous faut pour créer ce monde renouvelé.
Marie-Odile Sansault nous le dit ici à sa façon:

«Dans cette période, 3 grands chemins se montrent à l’humanité pour continuer la suite de son expérience…

  • …le chemin de la matière en tant que seule réalité, tangible et objectivable par nos sens, compréhensible par notre intelligence,
  • …le chemin de la spiritualité qui sépare le créateur et la création et voit le salut de l’homme après la mort du corps et du personnage, au-delà de l’existence terrestre, une fois arrêtée la roue des incarnation,
  • …le chemin de l’Unité qui invite à voir le Divin dans tout ce qui est, dans tous les éléments de la création y compris les humains, qui rappelle à chacun qu’il est un dieu souverain qui crée en permanence le réel qu’il observe et avec lequel il est en relation.»  (1)

Denis Breton
_______________
(1) Marie-Odile Sansault, «L’épée michaélique nous invite au choix de la voie qui nous convient».

Que veulent nous dire nos souffrances?

«Chaque souffrance est une résistance à la vérité de ce que nous sommes.
À chaque fois que nous souffrons, c’est que nous résistons à nous gouverner à partir de notre vérité: nous croyons que l’humain que nous sommes serait plus à même de piloter le navire que le ferait notre moi divin.
Pourtant, notre embarcation deviendrait beaucoup plus simple à piloter.»

Voilà en substance ce que partageait Marie-Odile Sansault au cours d’un Regard de vérité. (1)

J’ai beaucoup apprécié cette clé de lecture pour prendre du recul sur mes malaises: à quoi est-ce que je résiste? qu’est-ce que je ne sais pas traiter amoureusement encore?…

Et d’autant plus lorsqu’elle a conclu: «…Accueillir nos souffrances est le chemin vers la joie».

Denis Breton
_______________
(1) Marie-Odile Sansault, Regard de vérité tenu en Ardèche, Jour 3, 1 sept. 2023:
https://www.youtube.com/watch?v=qyJDUR6S45w

Entretenir notre joie de vivre …à plusieurs

 

À quand remonte votre dernière pitrerie, ou une belle gaffe devant des amis? Tout le monde pouffe de rire, les enfants accourent pour voir ce qui s’est passé, et l’instant d’après les conversations s’animent plus encore…

Ça vous a fait oublier cette nouvelle-catastrophe lue dans un journal ou écoutée sur les ondes : «…pas encore une!»
Vous étiez resté-e un bout de temps à jongler, sentant votre niveau d’énergie baisser tout d’un coup: le courage vous avait manqué pour vous remettre à votre tâche, … surtout si vous étiez seul-e pour absorber ça.

Journaux, télévision ou Internet : que risquons-nous si nous n’avons pas tout lu, tout vu, tout entendu?… Peut-être de conserver l’envie de dire oui  à la moindre occasion de nous joindre à une fête, à un groupe d’amis, à un événement qui nous remonte le moral : on reçoit les confidences d’un premier, on donne un coup de main à un autre,… et on revient à la maison en se surprenant à fredonner une chanson.

Je me rappelle cette vieille tante bonne comme du bon pain, qui disait en nous regardant du coin de l’œil : «le bonheur ça se décide, p’is ça se pratique à plusieurs…»

Denis Breton

Pour traverser la turbulence, grimper pour voir plus haut…

Des gens sont étonnés d’apprendre que nous n’allons pas tous vivre les secousses de notre monde avec la même intensité.
Nos voies deviennent parallèles : ceux qui restent rivés aux mauvaises nouvelles et à leurs sources de conflit vont les amplifier en eux, et alors désespérer d’eux-mêmes, du monde, de l’avenir. Ceux qui se connectent au beau, aux gens optimistes et d’idéal, ou aux Forces de la vie de l’intérieur, vont encore garder le sourire, se surprendre d’avoir enjambé le bois mort sans s’y barrer les pieds.

Se peut-il que tout commence par ce que nous choisissons de regarder?… Ce qui nous tire vers plus de vie, ou ce qui nous tire vers plus de mort.
J’ai le choix de mon regard, il redevient ma connexion à la vie: semence de bonheur, là tout de suite; semence de confiance en demain: la conviction que notre Humanité aura retrouvé son envie de chanter.

Dans l’heure qui vient, de quel côté pourrais-je bien tourner mon regard?…

Denis Breton

Quand je m’éveille je m’é…mer…veille

Se sentir en connivence avec un bambin qui rit de s’entendre rire…  avec des aînés victimes d’un cornet de crème glacée qui leur fond sur la barbe ou dans les mains…  ou avec une fleur qui pousse à travers une fissure du béton, et qu’on enjambe pour ne pas l’écraser…

Vous arrive-t-il de vous sentir en communion avec un arbre, une personne…, ou d’ouvrir sur une pensée tout d’un coup lumineuse pour vous, au point de déclencher une émotion inattendue? Vous savourez ça, comme hors du temps…

Ce sont des moments bénis. Ça ne fait plus sens de séparer le dedans et le dehors, l’autre et moi, comme si c’était une connexion continue, marée d’un océan qui emporte tout, nous contient: chaque goutte d’eau y a sa place, son importance…

Quelque part du fond de nous, alors, un merci à la Vie émerge,  sans besoin de mots, d’images: on est bien avec la vie, ça devient un partenariat sacré. Vous vient-il un mot pour le dire?…

Denis Breton

Lorsque vous entrez dans une forêt…

La capsule qui vient — Lorsque vous entrez dans une forêt... — reflète  notre lien mystérieux avec la nature, végétale et animale, en fait avec tout ce qui vit. 

Elle est d’Omraam Mikhaël Aïvanhov, un mystique d’origine bulgare, bien connu en France au 20e siècle.

Reconnu entre autres comme vulgarisateur des lois cosmiques, il mettait en valeur l’unité du vivant, les connexions qui relient le microcosme et le macrocosme de la vie.

Denis Breton

Merci! …d’autant plus que je l’ai choisi

Chaque fois que je lis une communication venant de cette source, j’en sors avec un sentiment de pouvoir sur ma journée.
Pour un instant, les angoisses du monde, mes propres tracas de parcours,  se désagrègent à pareil lever de soleil.

En voici un spécimen, à propos d’un simple «…Merci…»

Continuer la lecture de Merci! …d’autant plus que je l’ai choisi