Archives de l’étiquette : peur

Ce que je gagne à m’installer dans l’amour

J’aimerais prolonger un moment la réflexion que je vous soumettais dans l’article précédent: «…C’est parce que tu n’as pas assez d’amour».

Je peux brasser des idées, qui vont rester de beaux concepts : nous sommes tous Un; l’amour est ma vraie nature; mon état d’esprit crée,… C’est réconfortant.
 
Une rencontre difficile m’a donné l’heure juste sur ce que j’en avais digéré : «…Descend plus creux dans l’expérience. Connecte-toi à la  saveur  d’être installé dans l’amour — ne serait-ce que dans cet instant. Goûte-le… ressens la différence…»

Dans ces moments privilégiés, tu n’as plus peur de ce qu’une autre personne peut penser sur le monde; ou sur toi si elle te juge, t’évalue. Dans ce moment qui te sort du temps, la chaude couverture de l’état amoureux t’enveloppe et te protège.

Tu te surprends alors à regarder l’autre avec d’autres yeux. Un peu comme il y a 2000 ans, quand l’Homme de Galilée rencontrait la Samaritaine au puits de Sarepta, et lui a dit : ‘’Si tu savais le don de Dieu…’’ » En toi une voix murmure: «…Tu peux venir te chauffer, si tu veux…»
Si la personne tourne les talons, c’est correct aussi. Tu te prends à savourer encore le feu qui t’habite, et d’un grand souffle,  à lui envoyer sa lumière…
Alors il n’y a plus de théorie, que la joie de te retrouver dans une autre énergie, léger.

Denis Breton

Aujourd’hui jour de tendresse: que me dit mon cœur sur mes relations?…

Sur les ondes radio, une personne exprimait sa vision des relations affectives. Elle a encouragé à ne jamais craindre de s’engager dans l’amour, malgré les risques de blessure.
Elle a ajouté à peu près ceci : «Nos relations amoureuses vont finir un jour ou l’autre, que ce soit par la mort ou autrement. On se fait croire que l’amour va durer toujours, mais c’est une façon qu’on se donne pour ne pas avoir mal…»

À mes yeux, cette personne nous amenait à considérer que l’amour et la peur ne font pas bon ménage. Elle nous mettait sur une bonne piste déjà.
Sauf que mon cœur me dit autre chose pour la suite. Quelqu’un que j’ai aimé, d’amitié ou d’amour, je crois que je l’aimerai toujours, car l’amour est ma seule nature, et celle de l’autre aussi.
C’est juste que nous n’avons pas le tableau d’ensemble pour situer une relation, hors du temps tel que nous le connaissons.
Qu’en savons-nous, plongés dans notre expérience actuelle bien limitée, si nous n’avions pas ensemble une relation de longue date précédant notre incarnation sur ce coin de terre, tout comme si elle ne va pas se poursuivre pendant des lustres par après dans d’autres espaces?

Pour moi, un regard risque d’être proche d’une plus grande vérité: c’est de me dire que si je me fais un point de vue craintif, ce n’est pas la peine d’aller plus loin : c’est sûr qu’en partant je suis dans l’erreur. C’est alors l’heure de faire la paix, puis d’écouter un peu plus avant ce que me dit mon cœur.

«Le cœur a ses raisons que la raison ne connaît pas», écrivait Blaise Pascal dans ses Pensées. Notre tête analyse ce qui nous a fait mal, notre cœur nous raccorde à ce que nous sommes en profondeur et dont nous parlent nos soifs tenaces.

Quel est votre propre regard?…

Denis Breton

Comment un Dieu amoureux aurait-il pu permettre l’injustice et la souffrance ?

Quand on s’éloigne du feu, on a froid, il fait noir, on se sent en danger… C’est ce qui nous serait arrivé comme Humanité.
La Bible nous le raconte d’une façon dans l’histoire d’Adam & Ève.

C’était resté loin derrière pour moi : un conte de notre enfance …qui m’avait pourtant toujours intrigué. Jusqu’à ce qu’on m’en propose une relecture plus récemment : le choc ! un lever de soleil. Ça m’apparaît aujourd’hui le fil conducteur pour décoder un peu tout ce qui nous arrive dans notre aventure terrestre, un bateau qui semble à la merci de toutes les bourrasques. Continuer la lecture de Comment un Dieu amoureux aurait-il pu permettre l’injustice et la souffrance ?

Quelle heure est-il? Celle de s’apeurer, ou celle de recréer?

À l’heure où les échéances pour notre Humanité se font plus proches — économie, climat, perspectives d’avenir,… — nous sommes provoqués à ajuster nos montres : on pourrait parler d’un vaste passage à l’heure avancée.
Mais quels repères nous donner, quand au dehors personne n’a la même heure!?… Continuer la lecture de Quelle heure est-il? Celle de s’apeurer, ou celle de recréer?

Dérèglements climatiques : restaurer le climat de confiance

poignée de mainsBeaucoup ont les yeux rivés sur les ouragans qui ont saccagé les rives de la Floride, les Iles-de-la-Madeleine et bien d’autres endroits du monde.
Ces événements questionnent, surtout qu’ils sont rapportés en boucle par les médias à grand tirage: c’est compréhensible de ne pas trop savoir quoi en penser et de se prendre à douter de l’avenir du monde.

Qu’en disent des sources spirituelles qui voient ces événements de plus haut, de plus large? Que nous proposent-elles? Voici la meilleure synthèse dont je dispose.
En bref, tout ça fait partie du grand nettoyage nécessaire pour notre monde. L’invitation qui nous est faite: soigner notre état d’esprit, alimenter en nous la vision du grand réveil entrepris par l’Humanité. Nous allons y trouver l’énergie pour écouter notre cœur plutôt que la peur, et alors collaborer volontiers aux solidarités qui rendront notre transition heureuse …dès maintenant.
Voyons ça de plus près… Continuer la lecture de Dérèglements climatiques : restaurer le climat de confiance

Et si le cœur avait les réponses…

Plusieurs sources convergent vers une même perspective : l’Éveil de conscience entrepris par l’Humanité ferait partie d’un mouvement énergétique plus vaste, un pas d’évolution majeur englobant d’autres mondes à l’échelle de notre univers.

Suivant l’observation de ceux qu’on appelle les Arcturiens *, les êtres qui s’en tirent au mieux dans cette transition auraient en commun une caractéristique : l’enthousiasme (eagerness en anglais).  On peut parler de fébrilité, ou même d’impatience chez certains.

Quand nous constatons l’état de notre monde, est-ce pure inconscience ?
C’est pourtant aujourd’hui qu’une chanson comme celle qui va suivre a été composée…
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« La troisième guerre, la dernière »

J’aimerais attirer votre attention sur un bijou de texte, dans notre page PÊCHEURS DE PERLES.

En mots simples, il vient nous faire détourner les yeux de la guerre qui sévit en Ukraine …mais il en garde la semence. Pour nous brancher sur le monde de nos soifs, et alors l’enfanter.

Ici quelques extraits, juste pour vous donner le goût de lire le texte dans son entier :

«…C’est un événement qui va changer pour toujours les fréquences de ce monde. (…) ′′ les couvercles ′′ ont été enlevés. L’obscurité n’a plus d’abri et doit se montrer. Chaque âme est obligée de faire face à elle-même, (…) manifestation divine dans cette densité terrestre.
Ce que nous choisissons d’être maintenant est essentiel, car il mettra les bases des prochaines étapes sur lesquelles construire les transformations nécessaires pour ancrer le Nouveau Monde. (…)
Nous guérissons des siècles et des siècles…. (…) de blessures profondes en nous. (…)
Ayez confiance (…)

Denis Breton

Plus fort-e que vos peurs : le croyez-vous ? — EXERCICE

caché sous des coussinsL’épidémie sanitaire que nous traversons nous donne un beau rendez-vous avec nos peurs : face au virus, face au vaccin, ou à l’égard des gens qui se positionnent autrement que nous.

La peur — une fabrication de notre ego en quête d’être aimé — peut-elle être autre chose qu’une fausse amie ?
La seule façon de les dépasser : nous y connecter amoureusement… Continuer la lecture de Plus fort-e que vos peurs : le croyez-vous ? — EXERCICE

Se faire vacciner ou pas ? Et si la réponse était en dehors de la seringue ?

bouteilles,virus,point d'interrogation

Au fil des années, on a connu une montée du débat social sur l’à-propos de se faire vacciner ou pas, ex. à la veille d’une grippe saisonnière ou d’un voyage à l’étranger. L’avènement du coronavirus a amplifié ce débat, suscitant des positions extrêmes, au point qu’un pourcentage significatif de gens hésitent aujourd’hui à se faire vacciner. Et que d’autres optent pour le vaccin, mais restent apeurés des effets négatifs qui pourraient s’ensuivre.

Se pourrait-il qu’il y ait des facteurs à considérer plus décisifs encore que le contenu de la seringue ? Que l’effet d’un vaccin soit conditionné par notre état d’esprit, et même par un certain nombre de croyances que nous entretenons par derrière ?
Je souhaite que ce qui suit vous garde le cœur plus tranquille, que vous ayez accepté le vaccin ou l’ayez refusé. Que diriez-vous d’explorer ça de plus près avec moi ?… Continuer la lecture de Se faire vacciner ou pas ? Et si la réponse était en dehors de la seringue ?

Franchir les deux portes de ma maison

Une petite voix m’a murmuré :

« Si tu as du mal à aimer, permet à un autre de faire quelque chose pour toi…
Si ça t’est difficile de laisser quelqu’un t’aimer, fais quelque chose pour un autre…
Car être aimé et aimer sont deux aimants qui s’attirent, la porte arrière et la porte avant d’une même maison.

Et si les deux portes te paraissent verrouillées ?… Garde courage.
Car ton cœur profond le sait : cette maison est déjà ton chez toi…
…puisque chacun de nous n’est rien d’autre qu’un être d’amour qui s’ignore encore.
La clé est quelque part, qui nous attend, souvent empoussiérée sous quelques peurs à reconnaître notre beauté. »

Denis Breton

Le premier virus à éradiquer : la peur

Le croiriez-vous ? Nos réactions à une épidémie qui se rapproche — aujourd’hui celle du coronavirus — peuvent tout d’un coup nous donner une mesure de notre confiance globale en la vie.

J’ai évoqué ailleurs que ça m’est arrivé, lorsqu’on m’a annoncé qu’au test du coronavirus j’étais « négatif » : c’était donc que je l’avais attrapé. Surprise ! je suis resté paisible : « la Vie m’aime, il doit y avoir de bonnes raisons… ». Bien sûr, j’ai été heureux d’apprendre que c’était le contraire : j’étais correct.
Cet événement m’a incité à me faire une synthèse personnelle la dynamique par laquelle mes croyances forgeraient mes réactions-réflexes.

Intuition et défenses naturelles

La contagion rapide du coronavirus en a ébranlé plus d’un avec des des questions du genre « Suis-je en danger ?… des gens que j’aime sont-ils à risque ?… est-ce que ça pourrait être mon tour d’y passer ?… C’est bien humain, du moins dans nos réactions primaires.

 Vous et moi avons fait l’expérience, devant une forte peur, de « perdre nos moyens », de nous mettre « les pieds dans les plats » : nous avons du mal à rassembler nos idées, nous cessons d’entendre les intuitions qui montent, prenons des décisions erratiques…
Jusqu’à 90 % de nos maladies seraient causées par le stress — l’enfant chéri de la peur.

L’amour, son contraire, stimulerait nos défenses naturelles. Plusieurs sources au rayon spirituel proposent que l’amour aurait l’effet d’élever notre état vibratoire plus haut que celui du virus, le rendant alors inopérant. Je n’ai pas fini de fouiller ce qu’en disent nos sciences sur le sujet. La physique quantique semble avoir fait des pas dans cette direction. J’ai décidé de donner sa chance à pareille vision.

De nos croyances à nos réflexes du moment

Ce que je crois comprendre aujourd’hui, c’est qu’avec notre héritage religieux, et aussi nos autres expériences de la vie, nous développons une corbeille de croyances, qui sont nos interprétations du fonctionnement de la vie. Les adeptes d’une religion ont des croyances, les scientifiques ou les artistes aussi. Les unes sont tenaces, d’autres partent au premier vent. Celles qui s’installent ont un pouvoir créatif bien plus grand qu’on le soupçonne : « Il vous sera fait selon votre foi » affirmait Jésus.
Ces croyances finissent par devenir notre expérience, car elles ont fait nos perceptions des situations, celles-ci ont créé notre état d’esprit (pensées, sentiments, émotions), qui à leur tour deviennent nos réactions-réflexes,..

Avec tout ce temps libre que me laisse le confinement de santé, j’en dégage une question intéressante à laisser traîner dans mon imaginaire  : « Mes croyances accumulées jusqu’ici ont-elles fini de me dire la vérité sur la vie, sur la mienne ?… »

Denis Breton

L’inquiétude : au rendez-vous d’un dicton tibétain

pièces de casse-tête réuniesOn connait tous cette maxime, qu’on dit d’origine tibétaine :
« Si le problème a une solution, il ne sert à rien de s’inquiéter. Mais s’il n’en a pas, alors s’inquiéter ne change rien. »

Spontanément sans doute trouvez-vous que cette invitation est pleine de sagesse; moi aussi. Pourtant, se pourrait-il qu’elle cache un petit quelque chose à questionner — méritant du même coup qu’on s’y attarde davantage ?… Continuer la lecture de L’inquiétude : au rendez-vous d’un dicton tibétain