Contacter nos zones d’ombre : notre eau de javel intérieure

« Rien ne peut avoir de pouvoir sur nous
si nous sommes en relation avec lui »
Kai Ra, Le code Sophia

Notre garde-robes intérieur est rempli des squelettes que nous y avons refoulés. Parfois très anciens, leur énergie continue de nous affecter aujourd’hui, comme un frein à main resté activé sur nos roues tandis que nous roulons : ça sent le chauffé…

Une pratique devient libératrice : nous redire que sous nos taches apparemment ignobles, la blancheur de notre être est toujours intacte. Nous redire qu’ils ont été des enseignants déguisés… Et alors nous y connecter amoureusement.

Sous cette eau de javel bienveillante, ils osent sortir du placard. Leur énergie, au lieu de nous freiner devient une alliée pour nous recréer de plus belle à chaque étape. Au volant de notre vie, nous avons à nouveau des yeux pour admirer le paysage…

Denis Breton

Laisser un commentaire

Votre adresse courriel ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *