Dans le tourbillon, ressentir pour mieux choisir…

Pour nos grands-parents, et même nos parents, le temps apparaissait constant, linéaire. Beaucoup se vivait par adaptation. 24 heures, c’était 24 heures.
Aujourd’hui, chacun de nous se rend compte que le temps s’accélère: nos journées n’ont plus que l’équivalent de 18 heures. Les jeunes parlent à toute vitesse, les animateurs des médias aussi: on dirait que tout le monde se sent obligé de dire plus de mots dans une même phrase. Aussi d’agir plus vite, de faire plus de choses à l’intérieur de sa journée. Avez-vous aussi cette perception?

Illusion? Phénomène que la science pourrait expliquer?
Et si l’enjeu était de nous pratiquer à choisir davantage?… Car l’Humanité que nous sommes à enfanter ne sera faite que de ça: choisir. En toute conscience de notre pouvoir à nous rendre heureux — autre chose que de protéger son chapeau à tous les vents dominants.
Je vous propose de scruter ça d’un peu plus près…

Plus créatifs, avec des résultats plus rapides

– D’abord il semble bien que nos capacités créatives se sont multipliées.
Notre niveau de conscience personnel et collectif augmente. Et des influx solaires d’intensité croissante viennent leur prêter main forte. Aussi, nous comprenons mieux que c’est à passer de la tête au cœur que les vraies réponses vont surgir.

– En plus, le phénomène action-réaction produit ses résultats plus rapidement: ça devient observable dans nos vies. Le calendrier de nos récoltes se rapproche du calendrier de nos semences; le temps devient l’ins-temps.

Ça peut nous effrayer, ou ça peut nous séduire

Nous avons la capacité de choisir quelles croyances colportées sur la place publique nous laissons entrer dans notre caboche, imprégner nos émotions. Capacité de choisir d’habiter plus souvent nos ça-goûte-bon, et un peu moins les t’as-mal-où  de nos malaises — lequel vous vient en tête, là tout de suite?…
Au total, ouvrons-nous plus qu’avant la porte à nous croire les créateurs de notre expérience? Et que ça se crée d’instant en instant?

Oui, les maîtres-mots deviennent intuition, ressenti. Bref, conscience.

Jusqu’à…

Et s’il est une cible qui mérite de plus en plus notre attention, c’est de nous donner du temps à rêver l’Humanité où nous aimerions tellement habiter. En appeler l’émotion dans son lit, dans sa cuisine, en nature, dans un moment de stress ou de grande joie,… Puis le faire avec d’autres chez qui on détecte des soifs ressemblant aux nôtres…
Car cette Humanité, méconnaissable aujourd’hui encore, ne sera rien d’autre qu’un enfantement: personnel, collectif — bien sûr puissamment aidé par des Forces de lumière, si nous les appelons à nous.

…Et c’est déjà commencé.

Denis Breton

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