Nous voulions un manège où on joue à se faire peur

Nous nous posons tous un jour ou l’autre les pourquoi de notre existence terrestre — souvent dans des moments où la nôtre devient un Himalaya à grimper à reculons!
Si notre recherche nous amène à des notions  de liberté, de dualité ou de 3e dimension, nous poussons le pourquoi plus loin:  «Pourquoi diable aurais-je choisi pareille aventure, si par avance je savais qu’elle allait être aussi raboteuse!?…»

L’article qui a lancé le blog Croque-lumière — «Une bien belle histoire» — cherchait à éclairer ce questionnement.
J’en ai trouvé un autre qui traite du même thème, et de façon très intéressante aussi. On le doit à un vulgarisateur spirituel renommé, Owen Waters.

  Par exemple, son article* compare le plan de vie humain — du moins jusqu’ici — à d’autres contextes cosmiques d’exploration.
Ce n’est pas dans toutes les dimensions qu’on débute l’expérience par l’oubli de qui nous sommes vraiment, au plan cosmique. La différence entre les 3e, 4e et 5e dimensions y est résumée avec simplicité.

L’heure d’en sortir…

L’article débouche sur les temps actuels. Avec une conclusion qu’on aimera se redire, dans les moments où nous sentons notre sac à dos bien lourd ou qu’on voit notre monde ne plus tourner que sur une roue:

«Le passage de la peur à l’amour joyeux et à l’autonomisation spirituelle de notre moi supérieur a lieu en ce moment même.»

Denis Breton
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* Owen Waters, «The Adventure of Being Human».
(Pour une application de traduction automatique)

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