Dénoncer la noirceur, ou allumer une petite lumière ?

Nous rêvons tous de passer à une société où les rapports humains seront à leur meilleur. Pour y arriver, des gens trouvent légitime de lutter contre des comportements déviants qui empoisonnent la vie — pensons au racisme ou à la corruption. Quelle probabilité avons-nous d’amener par là des changements durables, s’il est vrai que ce à quoi je résiste persiste ?…
Une source très inspirante, au rayon spirituel, affirme que le négatif a mille fois moins de pouvoir à changer les choses que le positif : il aurait l’effet de ricocher comme une balle sur un mur, tandis que ce qui tient à l’amour pénètre les êtres en profondeur. (1)

Lutter contre a toutes les probabilités de retarder le bonheur, créant de l’épuisement et une contre-offensive. Que vaut de comparer cette stratégie à celle de dénicher un exemple du contraire, déjà observable dans l’entourage ? Qui sait si ça pourrait mieux toucher le cœur, pouvant éveiller l’envie de le répéter ?… Des articles comme en publie Mylène Moisan, dans l’hebdomadaire Le Soleil de Québec, m’en fournit de splendides exemples : j’ai toujours hâte au samedi pour lire le prochain.
Et si on voulait aller juste un peu plus loin, que vaut l’idée de nous demander « Quelle écharde active en moi le comportement social que je réprouve ?… »

Denis Breton

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(1) Un texte percutant : The Power You Have to Impact the Universe (Votre pouvoir d’influencer l’Univers), par Daniel Scranton, attribué au Conseil arcturien 9D

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