Des gens entrent dans notre vie, d’autres en sortent : comment voir ça ?

Nombre d’entre nous constatons que nos amitiés évoluent. Certaines se consolident plus rapidement. D’autres, pourtant entretenues de longue date, entrent en silence. Et même des relations familiales se modifient. Ça nous attriste, ça nous questionne.

D’où vient qu’on perde l’impulsion de garder contact ?… Se pourrait-il même que ce soit dans l’air du temps, relié à des changements plus profonds qui débordent du contexte d’épidémie sanitaire ? Je vous propose une hypothèse déroutante, si elle est nouvelle pour vous, qui mérite d’être explorée…

→  Un réveil de l’Humanité inédit

Les gens qui ont entrepris d’explorer plus large en quête de sens sont déjà familier avec la perspective d’un réveil de l’Humanité, qu’on appelle aussi l’Ascension. L’année 2012 en aurait été le tournant, bien que peu visible encore pour longtemps.
Dix années plus tard, des signes concrets se profilent : dans nos chaos sociaux et certaines vérités douloureuses qui émergent; dans le malaise qui amène des gens à douter de l’avenir; mais aussi dans nos soifs d’autre chose, d’une planète viable pour la nature, pour tous, et de rapports humains confiants. Certains dorment, d’autres s’éveillent, c’est bien visible.

Quels lendemains tout ça préfigure-t-il ?… Moi dont l’ancêtre paternel a pris racine dans le village de St-Michel, au cœur du Québec, j’emprunte une imagerie simple qu’on attribue à l’Archange Michael (1), lui qui aurait un rôle-clé à aider l’Humanité dans son réveil.

Trois grappes de gens…

Figurons-nous à un carrefour de routes ou de sentiers de randonnée. Dans les prochaines années, et à un rythme qu’on ressent s’accélérer, on nous propose la vision suivante :

-Des gens, très nombreux, vont continuer tout droit devant eux. C’est plus facile : juste à faire comme ils ont toujours faits, sans trop questionner le sens de la vie, de leur vie.
Ils ont en commun la hâte qu’on sorte de l’épidémie et que la vie reprenne comme avant — malgré que leur expérience soit souvent faite de victimisation,où ils ont appris à tirer leur épingle du jeu tant bien que mal.
Ils vivent frileusement aussi bien la période de l’épidémie, voient l’avenir avec fatalité — ignorants que le mot apocalypse veut dire révélation, pas la fin du monde. Mais peut-être la fin d’un monde, ça oui.

-D’autres, moins nombreux, vont tourner à droite. Ils ont en commun le désir intense d’une Humanité où l’amour soit la façon de jouer la vie, où on vivra de créativité et non d’adaptation, et ils envisagent volontiers de faire leur part pour aménager de nouvelles conditions sociales qui profitent à tout le monde tout en respectant la nature.

-D’autres enfin, peu nombreux, vont bifurquer à gauche. Ils ont en commun de s’accommoder d’une vie dans l’ombre, d’où ils tirent les ficelles et cherchent à nous mettre à leur service. Le pouvoir sur d’autres, l’abus, l’argent, le confort ou la guerre leur conviennent très bien.

Périodiquement les gens du tout-droit-devant auront la possibilité de tourner à droite, à la faveur de vérités majeures qui ont commencé à être connues sur la véritable situation que vit l’Humanité — certains,  suite à des épreuves qui vont leur faire prendre du recul sur le sens qu’ils donnent à leur vie, ou encore suite à des contacts avec des gens qui creusent les questions d’ordre spirituel et leur inspirent confiance.

…Trois destinations différentes

Des sources spirituelles convergentes à dessiner le portrait suivant :

-Les gens du virage à droite, ouverts à questionner le sens de leur vie (qu’ils pratiquent une religion ou pas) vont en général rester sur Terre, se régénérer du point de vue santé, et contribuer à des changements humains qui vont transfigurer littéralement l’Humanité — pour le mieux, vraiment.
Même eux n’ont pas idée de toute l’aide spirituelle qu’ils reçoivent déjà, provenant d’autres paliers d’existence : soit pour leur propre évolution, soit pour la mise en chantier d’envergure qui nous attend.
Une petite portion d’entre eux vont néanmoins décéder, peu importe leur âge : leur âme aurait fait ce choix, se voyant plus utile à aider l’Humanité à partir de l’Au-delà.

-Les gens du chemin tout droit, ceux qui considèrent que l’hommerie existe depuis que le monde est monde et qu’on ne peut rien y changer, eux vont décéder, partir sur un autre plan pour un temps.
On nous assure qu’ils auront là l’occasion de refaire leurs forces (capacité vibratoire) et de mieux comprendre ce renouveau entrepris par l’Humanité, et par la Terre, cet organisme bien vivant qui nous héberge. On nous assure qu’un grand nombre de ces gens auront hâte de revenir sur Terre ensuite.

– Les gens du virage à gauche, ne pourront pas résister aux rayons solaires qui deviennent de plus en plus intenses — un fait confirmé par la NASA (2) — conçus pour augmenter notre capacité physique d’absorber la lumière. Conçus aussi pour contribuer à harmoniser les climats et les adoucir — présenté comme un grand bienfait, et non comme la catastrophe climatique qu’on nous pousse à craindre.

Quelle proximité dans le temps ?

Nous avançons dans notre quotidien et dans notre adaptation aux changements de toute sorte. Les messages recueillis du plan spirituel confirment que notre temps s’accélère : nos sciences peuvent donner une certaine mesure de l’évolution de vibration de la Terre, aussi de celle d’une personne.

Donc, le virage entrepris par l’Humanité peut être envisagé comme une révolution progressive, et non une simple évolution.  Désormais possible parce que l’Humanité, au niveau de l’âme, aurait poussé un cri profond  : « Assez de cette expérience dans la dualité ! » Alors les Forces de la vie peuvent alors nous aider à changer de trottoir, car elles respectent notre liberté : nous sommes co-créateurs de notre expérience, personnellement et collectivement.
Bien sûr, nous aimerions bien avoir des dates ! On nous répète qu’une grande partie du calendrier nous appartient. La question devient : à quel rythme ferons-nous le choix d’élever notre niveau de conscience — à commencer par croire que ce vaste changement est possible, et que c’est de l’intérieur que nous le générons.

Voir autrement…

Quand on creuse davantage, tout ça devient enthousiasmant face à l’avenir …et pour aujourd’hui déjà : le fait d’en semer en nous la vision, d’en créer l’émotion et d’y revenir périodiquement : voilà sans doute la première porte pour recréer notre bonheur. Quand on y pense, peut-il se vivre ailleurs que dans des instants ?…

Bien sûr, ça ne va pas tout seul d’accepter de voir des gens souffrir, d’en voir d’autres nous quitter — nous le constatons durant cette période d’épidémie chaotique. Pour un temps la statistique des décès sera sans doute beaucoup plus élevée que ce qu’ont connu les générations passées.
Voir des gens nous quitter… Ça peut être des proches qui ne nous contactent plus, ou dont nous apprenons le décès. Qui sait si la vision que nous ne perdrons jamais l’affection des gens que nous avons appris à aimer pourrait nous aider à voir autrement. Ou la vision que quelle que soit la profondeur de nos liens affectifs que nous avons tissés, chacun a son chemin de vie à poursuivre, ses propres rendez-vous.

Denis Breton
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(1) Timelines are Diverging : Synthèse d’un message attribué à l’archange Michael, par Steve Beckow.
(2) Notre soleil serait entré dans un 25e cycle, en octobre 2021. Voir le site de la NASA : https://earthobservatory.nasa.gov/images/148952/auroras-announce-the-solar-cycle

Denis Breton

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