Il est question de travailleurs de lumière : qui ça concerne ? — partie 1/2

« …Révéler à chacun d’autre qui il est
en étant davantage qui vous êtes  »
Conseil arcturien

Partant de votre expérience…

    • Si vous avez une attirance naturelle à faire plaisir, à aider…
    • Si votre soif de sens est intense, comme une source qui cherche sans cesse à sortir de terre…
    • Si les sentiers traditionnels de réponse ne vous suffisent pas, vous avez soif de comprendre plus large encore…
    • Si d’entendre parler d’une transition de conscience entreprise par l’Humanité provoque en vous un sursaut attirant…

…il se pourrait bien que vous ayez en vous de la graine de travailleur-se de lumière.

…Alors la suite de cet article pourrait vous intéresser.

  Qu’auraient de particulier ces artisans ?

Oui, des  enseignements spirituels convergent à les décrire comme des gens sensibles à la montée de conscience qui serait offerte actuellement à l’Humanité — comme jamais ça ne s’est produit encore — et qui se sentent mystérieusement appelés à y apporter leur collaboration.
On assure que ce désir provient d’un choix de l’âme manifesté avant même de naître, que la personne va le découvrir peu à peu à travers l’expérience, et qu’elle sera pleinement aidée de l’intérieur à jouer ce rôle.

À quels signes se reconnaître travailleur-e de lumière ?

Je crois que ça peut varier grandement d’une personne à une autre, suivant son parcours de vie, les contacts qui l’ont influencée, et la résonance qu’ont eu sur elle ses recherches au rayon quête de sens.
Je présume en fait qu’on ne pourra jamais étiqueter quelqu’un d’autre de travailleur-e de lumière, et que bon nombre d’entre eux s’ignorent eux-mêmes. Car si certains y viennent par idéal d’évolution spirituelle ou de service, d’autres y viendront d’instinct par une sorte d’allergie à l’injustice sociale : ils se sentiront à leur place d’hurler avec les loups pendant un temps. Eux ne vous parleront ni de montée de conscience planétaire, ni de recherche spirituelle. Mais d’une soif intérieure à entendre et à explorer.

Mon propre parcours

Dans mon cas, je me retrouve dans plusieurs des signes mentionnées au début. Et j’ai fini par m’intéresser de plus près à cette perspective à mesure que j’explorais les questions de quête de sens. Dans mon enfance, j’ai été séduit par ce missionnaire qui revenait dans la parenté, conservant jusqu’à l’adolescence l’idée de me faire prêtre. Et j’ai toujours gardé une grande soif de croissance personnelle solidaire, au point d’y consacrer plus de 20 ans à l’édition du Site Grandir, dédié à la question — encore en ligne aujourd’hui. Et Croque-lumière le prolonge, sur plusieurs aspects.

J’ai été profondément marqué par la foi profonde que je voyais ma mère vivre, mais aussi par une certaine ambivalence chez elle : les invitations évangéliques lui donnaient des ailes, mais aussi certaines attentes de sa culture religieuse les lui coupait.
Marqué aussi par ma vision d’adolescent très critique face à la foi de mon père et d’autres, qui me semblait isoler dans le conformisme, alimenter bien plus une peur de la vie que l’audace à en faire l’expérience.

Il y a eu ensuite la prise de conscience que toutes mes expériences profondes semblaient avoir un même fil conducteur : cette mystérieuse passion que j’éprouvais lorsque j’aidais des gens à reprendre confiance en eux ou en la vie, alors qu’ils avaient bien des raisons de la trouver injuste — certains en raison d’une déficience, d’une situation d’abandon dans leur prime enfance, d’autres d’une situation de pauvreté ou d’événements douloureux dans leur parcours.   >>> SUITE DE L’ARTICLE

Denis Breton

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