Si le monde va si mal, c’est que collectivement nous avons du mal à lâcher prise sur la dualité : nous croyons encore que c’est la façon naturelle de voir la vie, quand ce n’est que survie : séparer en bien et mal, en bons et méchants, en Blancs et en Noirs, opposer le parti bleu au parti rouge,…
Tous nos combats sont là, toutes nos souffrances aussi.

→  À mesure que nous élargissons notre vision de la vie, pour comprendre que tout obéit aux mêmes lois, ou à des lois qui s’harmonisent entre elles, nous comprenons que le monde est fait comme l’escargot : il construit sa coquille en partant d’un premier anneau, puis d’un deuxième,…

Notre premier anneau est de faire l’unité à l’intérieur de nous : arriver à ce que tous nos joueurs aient envie de la même partie sportive, se mettent d’accord sur une même direction, une même priorité, une même décision amoureuse.
Le monde s’en porte mieux déjà…

Denis Breton