Se faire vacciner ou pas ? Et si la réponse était en dehors de la seringue ?

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Au fil des années, on a connu une montée du débat social sur l’à-propos de se faire vacciner ou pas, ex. à la veille d’une grippe saisonnière ou d’un voyage à l’étranger. L’avènement du coronavirus a amplifié ce débat, suscitant des positions extrêmes, au point qu’un pourcentage significatif de gens hésitent aujourd’hui à se faire vacciner. Et que d’autres optent pour le vaccin, mais restent apeurés des effets négatifs qui pourraient s’ensuivre.

Se pourrait-il qu’il y ait des facteurs à considérer plus décisifs encore que le contenu de la seringue ? Que l’effet d’un vaccin soit conditionné par notre état d’esprit, et même par un certain nombre de croyances que nous entretenons par derrière ?
Je souhaite que ce qui suit vous garde le cœur plus tranquille, que vous ayez accepté le vaccin ou l’ayez refusé. Que diriez-vous d’explorer ça de plus près avec moi ?…

…Des facteurs aptes à conditionner notre point de vue sur un vaccin

À la veille de prendre une décision sur le vaccin, des millions de gens ont vécu tout un conflit intérieur. Certains, face à leur propre santé. D’autres parce qu’ils se sont sentis divisés face à leur entourage : une famille qui vous reproche de ne pas vous faire vacciner, ou au contraire vous encourage à le refuser; des enfants ou des personnes âgées que vous côtoyez de près; une clientèle vulnérable auprès de laquelle vous intervenez,… Peu importe : on s’est senti déchiré face à ceux qu’on aime, ambivalent devant la décision à prendre. Et un fort pourcentage de nos populations sont encore dans l’ambivalence, sinon dans le refus du vaccin.

Nous nous forgeons un point de vue personnel, un amalgame tiré de nos conversations, nos lectures  et nos visionnements documentaires.
– Certains de ces points de vue relèvent du domaine scientifique :  on nous parle des ingrédients contenus dans la seringue, de leurs effets prévisibles. Ça pose vraiment question…
– D’autres points de vue émanent d’une vision citoyenne : on veut mettre ses concitoyens en garde face à l’existence de malversations qui seraient à l’origine du virus ou des traitements officiellement préconisés, pour qu’ils arrivent à mieux comprendre les chaos actuels.
– Et de plus en plus de gens forgent leur point de vue à partir de leur quête de sens : ils deviennent convaincus que s’ils se protègent de la peur, fonctionnent dans une attitude amoureuse, leur immunité sera consolidée. …Jusqu’à se dire qu’aucun virus au monde ne parviendra à leur enlever leur sentiment de sécurité devant la vie.
Cette dernière vision est moins courante, mais parions que ceux qui interrogent leur cœur là-dessus auront plus de facilité à faire confiance, quelle que soit leur décision ou les effets d’un vaccin.

Côté quête de sens, je vous invite à considérer trois hypothèses ou croyances qui me paraissent en mesure d’aider quelqu’un à consolider sa décision face au vaccin, ou sa paix intérieure dans la suite. À certains ce genre de vision pourra paraître trop audacieuse; d’autres au contraire y trouveront l’occasion d’élargir avec bonheur leur regard sur la vie.

Première perspective : notre sécurité fondamentale dans la vie

Jusqu’où considérez-vous la possibilité d’un Dieu aimant, qui serait tout ce qui est dans le cosmos, et qui vous aurait lancé-e à faire l’expérience de tout ce qu’on peut faire avec l’Énergie de la vie ?
Si vous donnez sa chance à pareille hypothèse, tout ce qui nous arrive ici se déroule à l’intérieur de Dieu et est bien provisoire — ce qui inclut donc la possibilité d’être affecté par une maladie, un virus ou un vaccin . 
Envisager pareille hypothèse rend plus facile de nous croire en sécurité profonde à long terme. La maladie ou la mort physique apparaissent comme des transitions possibles, mais jamais fatales — en plus d’être des occasions de plus d’apprentissage de la vie. Notre vie continuera toujours, quelle qu’en soit la forme, et nous serons toujours dans Son amour.

Seconde perspective : notre contrat de vie

Il existe cette proposition que nous aurions choisi les éléments-clés de notre parcours de vie terrestre en concertation avec le Divin, avant même de venir au monde sur terre : c’est devenu une sorte de contrat de vie, basé sur ce que nous voulions y explorer, de ce que nous voulions en apprendre. C’est par rapport à ce contrat que la Vie nous guide, sans jamais enfreindre notre liberté.

Oui, nous avons de bonnes raisons de croire que nous sommes puissamment aidés par des êtres spirituels de haut niveau à rester dans notre chemin de vie. Si par exemple nous avons opté pour être ici en ce moment de transition planétaire —tantôt pour faire une expérience, tantôt pour pousser plus loin notre évolution personnelle, ou tantôt jouer un rôle de service à l’Humanité — ces êtres vont nous aider à nous garder en vie et à rester dans la voie choisie, quels qu’en soient les obstacles. Certains sortiront de l’épidémie sanitaire indemnes malgré qu’ils aient été fortement exposés au virus. D’autres auront utilisé le train du virus pour mettre fin à et épisode de vie vécu sur terre et poursuivre leur route ailleurs.

Troisième perspective : notre pouvoir créatif sur notre vie

Il est remarquable de voir à quel point les enseignements renouvelés en quête de sens appuient sur ce dernier point : nous avons tellement plus que nous le croyons le pouvoir d’influencer un événement. Au point que notre état d’esprit pour l’aborder sera plus puissant que la probabilité naturelle d’un quelconque virus à nous être néfaste. Et s’il nous amenait sur des sentiers de croissance, même ?…

C’est ici que prend sa source la pratique de la visualisation créatrice — que plusieurs combinent avec bonheur à leur dialogue avec les forces du monde divin.
Si je crée en moi une émotion positive face à l’issue d’un événement, quel qu’il soit, j’augmente la probabilité qu’il me devienne favorable : que ce soit à l’égard de mon bien-être, de ma croissance ou de mon service. C’est moi qui fournit l’énergie au résultat.
Personnellement, j’aime bien commencer mes demandes intérieures par le mot «Merci…» J’ai l’impression de kidnapper le Divin pour qu’il m’appuie, en plus du constat que l’émotion de gratitude m’énergise, là tout de suite.

Sommes-nous si loin de certaines phrases-choc bien connues, qui me semblent trouver aujourd’hui une nouvelle vitalité : « Demandez et vous recevrez », « Il vous sera fait selon votre foi », ou « Dieu et vous, êtes la majorité » ?

Denis Breton

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