Archives de l’étiquette : état du monde

L’état du monde nous bouscule à choisir notre plus grande vérité

Nous vivons un sacré paradoxe: il faut que la vérité se fasse sur ce qui se passe dans notre monde, pour avoir envie d’en générer un autre.
Mais c’est en mettant notre énergie à construire où regardent nos soifs, plutôt qu’à dénoncer où regardent nos peurs, que nous allons y arriver. C’est en apprenant une plus grande vérité: celle que nous avons tout ce qu’il nous faut pour créer ce monde renouvelé.
Marie-Odile Sansault nous le dit ici à sa façon:

«Dans cette période, 3 grands chemins se montrent à l’humanité pour continuer la suite de son expérience…

  • …le chemin de la matière en tant que seule réalité, tangible et objectivable par nos sens, compréhensible par notre intelligence,
  • …le chemin de la spiritualité qui sépare le créateur et la création et voit le salut de l’homme après la mort du corps et du personnage, au-delà de l’existence terrestre, une fois arrêtée la roue des incarnation,
  • …le chemin de l’Unité qui invite à voir le Divin dans tout ce qui est, dans tous les éléments de la création y compris les humains, qui rappelle à chacun qu’il est un dieu souverain qui crée en permanence le réel qu’il observe et avec lequel il est en relation.»  (1)

Denis Breton
_______________
(1) Marie-Odile Sansault, «L’épée michaélique nous invite au choix de la voie qui nous convient».

Pardonner au monde d’être comme il est …jusqu’ici

Notre monde est en ébullition : lumière et ombre tirent la couverture chacun de leur côté. On le voit avec l’épidémie sanitaire : tandis que des forces de manipulation voudraient la faire durer pour accentuer leur pouvoir, des millions de gens s’en sont servi pour entrer en eux-mêmes, faire du ménage dans leurs relations, se questionner sur la vie,…

Je vous propose de nous y arrêter un moment, profitant de la captivante chanson que nous propose Lynda Lemay : Le monde. Elle a de quoi nous remuer au dedans …et au dehors, qui sait. Continuer la lecture de Pardonner au monde d’être comme il est …jusqu’ici