Un parti-pris pour la joie et les pauvres : le pape François

À l’occasion de la visite du pape François en terres canadiennes et québécoises, Louis Cornellier * du Devoir en brosse un portrait attachant, en relevant quelques-uns de ses propos au fil du temps. Ceux qui suivent nous parlent de son penchant pour  la joie et le souci des pauvres :

  • Un évangélisateur ne devrait pas avoir constamment une tête d’enterrement”, un «air de carême sans Pâques».
  • Des enfants — notamment une petite Albanaise — lui demandent s’il aimait danser dans son enfance. Le pape répond : «Il faut danser pour ne pas être trop sérieux quand vous serez grands”. 
  • À des gens qui le prétendent communiste, François répond : «…J’affirme seulement que si on retire les pauvres de l’Évangile, il s’écroule».

Denis Breton
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* Louis Cornellier, «François, mon pape». Le Devoir, Montréal, 2022-07-26.

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