Plusieurs sources convergent vers une même perspective : l’Éveil de conscience entrepris par l’Humanité ferait partie d’un mouvement énergétique plus vaste, un pas d’évolution majeur englobant d’autres mondes à l’échelle de notre univers.

Suivant l’observation de ceux qu’on appelle les Arcturiens *, les êtres qui s’en tirent au mieux dans cette transition auraient en commun une caractéristique : l’enthousiasme (eagerness en anglais).  On peut parler de fébrilité, ou même d’impatience chez certains.

Quand nous constatons l’état de notre monde, est-ce pure inconscience ?
C’est pourtant aujourd’hui qu’une chanson comme celle qui va suivre a été composée…

→  Un monde finit, un autre pousserait au travers ?…

« Il faut que tu saches si la vie
C’est de naître ou mourir…
…toi qui viendras après moi »

Ils ont les yeux tournés vers un renouveau du monde, délaissent la peur pour l’amour — et plus largement les structures et les relations basées sur la dualité des rapports. Ils ont décidé d’y croire, ont entrepris de renouveler leur état d’esprit, constatent déjà des changements dans leur santé et leurs relations …et se préparent à retrousser leurs manches pour y collaborer.

Fin du monde, ou renouveau d’un monde ?… Et si le cœur avait les réponses, jusqu’à en fournir l’énergie…

Je vous invite à écouter le vôtre, tandis que vous ferez défiler ce vidéoclip, où Fred Pellerin chante ce magnifique poème qui nous vient de René Richard Cyr : « Il faut que tu saches »…

 

Il faut que tu saches

Il faut que tu saches si la vie
C’est de naître ou mourir
Lequel des remords ou des triomphes
Sont les plus féconds
Si ‘vaut mieux trouver des réponses
Ou poser des questions
Si’ faut retenir les prénoms
P’is enterrer les noms
Si c’est perdre son temps
Qu’espérer la moisson
Sache si la peur est un trésor
Si la fuite c’est la mort

Toi qui viendras après moi
Toi qui viendras après moi

2
Il faut que tu saches si l’amour
Est un ciel ou une prison
Si ton sexe est une fleur,
Un poison, ta peau qu’une saison
Tes yeux, c’est-tu des doux miroirs
Des phares dans la nuit
Tes mains doivent tenir fermement
Ou s’ouvrir tendrement
Quel sang irrigue ton cœur
C’est-tu le tiens, celui des autres?
Sache s’il faut mieux lâcher prise
Ou combattre en mordant

Toi qui viendras après moi
Toi qui viendras après moi

3
Toi, il faut que tu saches
Car moi et les miens, on n’a pas su
Il faut que tu saches
S’il vaut mieux marcher en aveugle
Ou patient espérant l’inconnu
Immobile et confiant
Le courage, c’est-tu de prêter flanc
Aux brises et p’is aux griffes?
De s’ protéger, de se cacher
Du froid p’is des attaques?
Est-ce la guerre qui répare?
Est-ce la paix qui sépare?
Sache si l’enfant i’ est plus petit
Ou b’en plus grand que toi

Toi qui viendras après moi
Toi qui viendras après moi

4
Et si tu me rejoins
Dans la nuit d’un jour
Tu m’ diras si tu sais
Ou si, comme moi
Étourdi par le monde
Par l’ivresse des vues
Par la folie des soirs
Par la chaleur de l’autre
Étourdi comme moi
Si tu sais toujours pas
Crois comme moi qui cherche à croire
Que l’important, c’ tait pas d’ savoir
Mais d’ jamais oublier d’ chercher

Pour ceux qui viendront après toi
Pour ceux qui viendront après toi
Pour ceux qui viendront après toi

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* Un texte inspirant :  ‘The 9D Arcturian Council: Get Eager about the Grand Plan of Ascension‘ (Devenez fébrile à propos du grand plan de l’Éveil).