L’enjeu décisif : le virus ou l’immunité ? — 2/2

>>> PREMIÈRE PARTIE DE L’ARTICLE

La première partie de cet article présentait une hypothèse en apparence étonnante : ce n’est pas le virus qui nous terrasse, mais plutôt notre propre système immunitaire défaillant.
Cette deuxième partie mène plus loin la réflexion.
Elle débouche sur une magnifique chanson de Zaz
: elle a tout un potentiel de contagion !
…pour le cœur.

Nos démêlés avec le virus

J’aimerais bien accompagner des chercheurs dans leurs laboratoires; des praticiens qui se questionnent s’ils doivent attribuer un décès au coronavirus; ou des politiciens qui déterminent des politiques de confinement… Leur rôle à tous n’est pas facile, les pressions qu’ils reçoivent sont énormes.

Voyons-nous notre système de santé nous encourager à accorder autant d’importance à l’immunité qu’au virus ?

Des éclaircies se produisent, peu à peu. Ainsi, l’Organisation mondiale de la santé viendrait de reconnaître que les confinements ont créé plus de détresses et d’appauvrissement qu’ils ont protégé les populations. Et les grands médias ont du mal à contenir les voix médicales qui se multiplient pour affirmer que oui, le port du masque fragilise notre système immunitaire.

Notre nouvelle hypothèse déplace donc l’attention ailleurs que sur le virus : qu’est-ce donc qui peut consolider ou réparer notre immunité ? Celle-ci ne serait-elle pas le vaccin recherché ?
Et aurions-nous, en plus de travailler sur nous-même, à jouer un rôle citoyen pour influencer nos gouvernants — par exemple face aux campagnes qui activent la peur, ou face aux priorités de dépenses publiques en santé ?…

Un rendez-vous avec notre pouvoir intérieur

Il semble bien que la balle soit, pour une large part, dans notre camp personnel. Chacun de nous dispose de son propre laboratoire de vie : que ressentons-nous quand nous redonnons priorité à la joie de vivre, à nos liens du cœur, à ce qui nous met en confiance sur l’avenir ?…

Figurez-vous qu’au moment de mettre la dernière main à cet article, une amie me fait connaître une perle : Zaz et sa chanson Que vendrá.
Elle semble avoir trouvé son propre laboratoire d’immunité  « Au mieux on écrit son chemin comme on se soigne ».  J’ai vite eu hâte de vous contaminer avec cette chanson : guérison du cœur garantie !… (chanson, texte et traduction sous ma signature)

Denis Breton

 

Le texte complet, en français (traduction libre) :

1
Qu’importe là où je vais Tant que j’ai l’audace
De tenir la main de l’autre Pour aimer le temps qui passe
Dans tout ce que je fais La rage et l’amour s’embrassent
Qu’elle soit mienne ou qu’elle soit vôtre La vie nous dépasse

Qué vendrá Qué vendrá [Quoi qu’il arrive…]
Escribo mi camino [J’écris mon chemin]
Sin pensar Sin pensar [Sans penser]
Dónde acabará [Où ça va se terminer]

2
Dans mes joies Dans mes peines Dans mes choix Dans mes larmes
Je laisse aller mes sentiments Au mieux on écrit son chemin
Comme on se soigne Pour aimer indifféremment
Sous les sables mouvants D’un passé qui s’effondre
Je me raccroche à ceux que j’aime
Prenant soin de chaque seconde Les heures prendront soin d’elles-mêmes

Qué vendrá Qué vendrá
Escribo mi camino

Sin pensar Sin pensar

Dónde acabará

Qué vendrá Qué vendrá

Escribo mi camino

Si me pierdo es que ya me he encontrado y sé
[Si je me perds, c’est que déjà je me suis rencontrée et je sais…]
Que debo continuar
[…Que je dois continuer]

3
Puisque nous sommes ici sans savoir Ce qui nous attend un peu plus tard
Laisser parler mon instinct me guérit
Puisque tout cela est bien trop court J’aimerai jusqu’à mon dernier jour
Jusqu’à mon dernier souffle de vie

Qué vendrá Qué vendrá
Jusqu’où j’irai, j’en sais rien
Sin pensar Sin pensar
Sans penser à demain

Qué vendrá Qué vendrá
Escribo mi camino

Si me pierdo es que ya me he encontrado y sé
Que debo continuar (2)

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