Toi mon ami, à l’envers et à l’endroit

Au lendemain d’avoir fait route ensemble, extrait d’un courriel que je ne t’ai pas envoyé :
« …Toi mon ami venu du bout du monde, ta différence me séduit, et par moments me contrarie. Des fois j’aimerais savourer ton fruit sans avoir à me disputer avec l’écorce, j’aimerais voir voler ton papillon sans avoir dû héberger la chenille…

Bizarre mon ressenti quand j’ai éteint, hier soir… Quelque chose avait bougé à l’intérieur. On aurait dit que mon monde avait un peu grandi parce que tu es là, à portée de cœur… J’ai bien dormi. »

Ω

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