Je tire le témoignage qui suit de mon journal du matin. Ça fait suite à une nuit troublée par une sinusite tenace : une intruse qui revient périodiquement frapper à ma porte, et que j’ai décidé d’arriver à décoder.
Malgré que ce soit une expérience bien personnelle, j’ai envie de vous la partager, tellement à mes yeux elle débouche sur un sursaut d’admiration pour les sagesses de la Vie. Continuer la lecture de À blessure du cœur, une pilule qui irait droit au cœur?
Le site s’est créé autour d’une question «Comment peut bien fonctionner la vie?…»
Sous forme d’une allégorie qui donne la parole au Divin, voici une tentative pour répondre à cette question, tentative qui pourrait être la vôtre ou la mienne…
Le but ici est d’ouvrir un espace d’écoute intérieure et un dialogue, basés sur nos soifs, nos expériences et les leçons que nous en apprenons.
Nos croyances sont des hypothèses sur la vie, les meilleures dont nous disposions pour le moment.
Que diriez-vous de tenter votre propre réponse?… — de quoi faire avec notre vie …une bien belle histoire.
Laissons la parole au Divin: Continuer la lecture de Une bien belle histoire — 1/2 Ça commençait bien mal…
En nous incarnant sur Terre…Tout récemment, vous pouviez lire ici l’article «Nous voulions un manège où on joue à se faire peur». Il faisait écho à celui d’Owen Waters, pour qui nous incarner voulait dire nous offrir l’expérience de nous croire séparés de la Source — avec en prime les défis que ça nous ferait vivre!
Marie-Odile Sansault *, dans une vidéo captivante, nous guide pour nous positionner dans la suite. Voici la vision que j’en tire personnellement :
Nous pouvons continuer de subir nos situations, girouettes aux vents des rapports de dualité que cette incarnation-laboratoire est conçue pour nous faire rechercher, convaincus que le bonheur nous vient du dehors.
Ou nous pouvons nous ancrer dans la conscience de notre Moi divin, bien ancré dans notre corps. Nous découvrons le pouvoir du ressenti dans l’instant: il nous donne accès à une plus large palette de réactions à la situation. Et peu à peu monte en nous un sentiment de puissance sur notre aventure de vivre.
Nous pouvons alors mieux comprendre ce que nous apportait l’expérience d’un monde de dualité: nous permettre d’évoluer par contraste. Nous l’aurons vécu un peu comme un enfant qui s’est gavé de friandises jusqu’à en avoir mal à l’estomac. Tiens, tiens… il lui pousse des oreilles: il devient prêt à se faire expliquer comment fonctionne sa santé.
Nous avons goûté à la survie; nous avons envie d’entendre parler de la vie, d’en apprendre plus sur notre vraie nature. Alors nous réalisons que tout ce qui nous arrive est un rendez-vous de relation, conscientisée: avec la situation, avec nous-même.
Il nous prend le goût d’une vision d’Unité. Nous voilà entrés sur le terrain de la maîtrise. *
Denis Breton
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* Marie-Odile Sansault, «Guidance : une compréhension du sens de l’existence et de notre responsabilité».
Pour nos grands-parents, et même nos parents, le temps apparaissait constant, linéaire. Beaucoup se vivait par adaptation. 24 heures, c’était 24 heures.
Aujourd’hui, chacun de nous se rend compte que le temps s’accélère: nos journées n’ont plus que l’équivalent de 18 heures. Les jeunes parlent à toute vitesse, les animateurs des médias aussi: on dirait que tout le monde se sent obligé de dire plus de mots dans une même phrase. Aussi d’agir plus vite, de faire plus de choses à l’intérieur de sa journée. Avez-vous aussi cette perception?
Illusion? Phénomène que la science pourrait expliquer?
Et si l’enjeu était de nous pratiquer à choisir davantage?… Car l’Humanité que nous sommes à enfanter ne sera faite que de ça: choisir. En toute conscience de notre pouvoir à nous rendre heureux — autre chose que de protéger son chapeau à tous les vents dominants.
Je vous propose de scruter ça d’un peu plus près…
Continuer la lecture de Dans le tourbillon, ressentir pour mieux choisir…
Bien des enseignements au rayon spirituel nous proposent des repères — par ex. pour mieux comprendre comment la Vie fonctionne, ou comment y réagir avec bonheur.
C’est moins fréquent qu’ils suggèrent des indicateurs pour nous aider à prendre du recul sur notre avancée. Et ça, c’est réconfortant, après bien souvent des années de persévérance, quelquefois parsemées de doute sur la valeur de nos efforts.
J’ai trouvé rafraîchissant le topo que nous offre ici Nicky Hamid — un communicateur qui me paraît une valeur sûre dans le domaine.
Voici une synthèse pour en livrer l’esprit, juste de quoi toiser votre intérêt. Libre à vous d’aller méditer sur son texte complet, pas très long non plus… Continuer la lecture de Quels signes vous disent que vous avancez sur le chemin de la maîtrise?
Un mot, partagé à une bonne amie pleine d’idéal,
et qui en arrache un peu en ce moment:
«Bonjour belle complice du bonheur,
Comme moi tu as fait de l’Éveil ta boussole, et tu es heureuse d’en donner le goût à d’autres autour. Mais tu te retrouves encore toi-même pleine de trous dans ton gruyère.
Je te partage un instant de réflexion là-dessus, que m’inspire ce message encore splendide de ceux que j’aime appeler «mes amis Arcturiens».* Continuer la lecture de Pour donner le goût de l’Éveil: témoigner d’une nouvelle grammaire?
Chaque fois que je lis une communication venant de cette source, j’en sors avec un sentiment de pouvoir sur ma journée.
Pour un instant, les angoisses du monde, mes propres tracas de parcours, se désagrègent à pareil lever de soleil.
En voici un spécimen, à propos d’un simple «…Merci…»
Depuis mon enfance j’ai longtemps mastiqué, comme pour en capter toute la vitamine, les paroles qu’on a attribuées au Christ : «Fais aux autres ce que tu voudrais qu’il te soit fait».
Avec le temps, mon petit doigt m’a dit que j’allais défigurer cette proposition si je m’en faisais une exhortation morale: «tu dois…» — comme l’était la vision que je devrais aimer les autres plus que moi-même : quelque chose là forçait la vie.
J’ai trouvé ici une des compréhensions les plus lumineuses que je connaisse à propos de l’amour. Aimeriez-vous y regarder de plus près avec moi?… Continuer la lecture de Le donner pour le recevoir
Un jour, une femme en colère prend le chemin avec son baluchon, tandis qu’elle rumine en elle-même «Elle est méchante!…», «Elle est méchante!…»
— Voici un petit conte aussi lumineux qu’imprévisible dans son dénouement. Entendu de Marie-Ève Thiry, Alby-Rodez, FRANCE.
À savourer dans notre page PÊCHEURS DE PERLES…
Denis Breton
J’ai tout particulièrement apprécié la façon qu’a Marie-Odile Sansault d’approcher nos défis et nos impasses.
Elle nous ramène sans cesse à la conscience de l’instant, dans le corps. À analyser moins une souffrance, à plutôt la contacter. Et même à localiser l’endroit du corps où elle se loge, là immédiatement.
Avec le recul, j’en retiens que me libérer c’est me relier : la tête avec le cœur; ma spiritualité avec ma psychologie; mon JE SUIS universel avec la matière, dans ce corps de chair; mon expérience connectée à celle de mes voisins. Continuer la lecture de Carnet du désert — 5/6: Ce qui m’a le plus touché dans l’expérience
Nous étions en camp fixe: 20 personnes sous les tentes. Un cheminement de groupe intensif …des évasions libres dans la nature environnante …un contact avec les bédouins discrets, et quelquefois leurs dromadaires.
Animées par Marie-Odile Sansault, les rencontres quotidiennes étaient rythmées, intenses, aux contenus imprévisibles. C’était tantôt des enseignements sur un thème spirituel en particulier. Et tantôt ce qu’elle appelle des processus : une personne du groupe s’offre pour témoigner d’un défi de vie, et Marie-Odile l’accompagne à le conscientiser, le dénouer. *
Marie-Odile était bien celle qui nous séduit dans ses vidéos quotidiennes en ligne. Continuer la lecture de Carnet du désert – 4/6: Marie-Odile Sansault : apprivoiser notre Moi divin, l’ancrer dans le corps
Aventurier de tempérament, la découverte du Sahara m’habitait depuis 50 ans comme un de mes grands rêves à réaliser. Bien sûr, à l’époque je l’envisageais comme une une expédition, une conquête de plus.
Avec le temps j’ai trouvé quelques modèles pour entretenir cette séduction, et un sens plus profond devenait attrayant.
Il y a eu d’abord mon idole de l’Évangile, Jeshua, et ses mystérieux 40 jours au désert : ça semblait déboucher sur une lumière intérieure étonnante, une métamorphose même.
Il y a eu Charles de Foucauld, qui s’est mêlé à la vie des Touaregs dans le Hoggar algérien, apprenant leur langue jusqu’à en tirer le premier dictionnaire existant.
Puis j’ai découvert Éric-Emmanuel Schmitt, dont j’ai dévoré ‘La nuit de Feu’ : sa «deuxième naissance», comme il en parle, a laissé une trace tenace dans ma recherche de dépassement intérieure. Continuer la lecture de Carnet du désert — 3/6: Pourquoi je venais au Sahara