Un mot, partagé à une bonne amie pleine d’idéal,
et qui en arrache un peu en ce moment:
«Bonjour belle complice du bonheur,
Comme moi tu as fait de l’Éveil ta boussole, et tu es heureuse d’en donner le goût à d’autres autour. Mais tu te retrouves encore toi-même pleine de trous dans ton gruyère.
Je te partage un instant de réflexion là-dessus, que m’inspire ce message encore splendide de ceux que j’aime appeler «mes amis Arcturiens».* Continuer la lecture de Pour donner le goût de l’Éveil: témoigner d’une nouvelle grammaire?
Ces dernières années, nous en avons mis de l’énergie à nous attrister sur le sort du monde, aussi à rester debout durant l’épidémie sanitaire. Dans le même temps, nous avons progressé dans notre quête de sens, pas toujours compris à vouloir le partager à notre entourage. Et nous en avons mis de l’attention à lâcher prise sur ce qui n’est plus pour nous, tout en repoussant nos frontières intérieures.
Récemment — moi qui suis d’une minceur à défier tous les passe-muraille — j’ai agréablement sursauté en lisant un texte attribué à Jeshua : « La forme que vous avez choisie est toujours parfaite pour vous ». 
Il est souvent plus facile de partir en voyage quand on le fait au départ de chez soi — surtout quand on est pressé.
Si vous avez parcouru la Foire aux questions de Croque-lumière, peut-être l’article « Nous voyons-nous les 
«L’horizon se déplace avec nous»
Si quelqu’un vous avance des visions de la vie attrayantes, mais déroutantes, vous aurez tendance à les comparer à celles de votre héritage religieux. Il se peut que vous y voyiez des hypothèses stimulantes, ou encore que vous finissiez par lui demander: «…Qu’est-ce que ça change à ta vie?…»